Les frères

Pour l’année 2023-2024, la communauté compte sept Frères capitulants :

  • Fr. Armand de l’Incarnation
  • Fr. Baptiste de l’Assomption
  • Fr. Benoît-Marie de l’Enfant-Jésus
  • Fr. Gabriel de la Trinité et de la Vierge Mère
  • Fr. Henri de l’Enfant-Jésus, maître des étudiants
  • Fr. Jean-Gabriel de l’Enfant-Jésus, prieur
  • Fr. Joseph de Jésus-Marie

et sept Frères étudiants, en philosophie et théologie :

  • Fr. Alain de la Visitation
  • Fr. Basile-Marie de l’Ascension
  • Fr. Élie de la Croix
  • Fr. Jean-Mariam de l’Enfant-Jésus
  • Fr. Jean-Paul de la divine Miséricorde
  • Fr. Vincent-Élie de Saint Joseph
  • Fr. Vincent-Joseph de l’Enfant-Jésus

Les Carmes à TOulouse

Les Grands Carmes (ou Carmes chaussés) se sont installés à Toulouse vers la moitié du XIIIe siècle. Établis près du Faubourg Saint-Michel, dans la rue du Férétra, les Carmes construisent une première chapelle placée sous le vocable de Sainte-Marie-du-Mont-Carmel.

Le premier couvent de Carmes Déchaux à Toulouse date de 1622. Les Frères sont expulsés de leur couvent par la Révolution en 1791. Après une refondation en 1872, ils sont de nouveau expulsés en 1880 ; ils s’exilent en Espagne.

En 1986 les Carmes déchaux reviennent à Toulouse pour une nouvelle fondation, après plus d’un siècle d’absence : c’est la maison de formation. En 1988 la communauté, devenue trop nombreuse, se scinde en deux : les « philosophes » restent au 9, rue Montplaisir, tandis que les « théologiens » partent habiter au 2, rue d’Aquitaine.

En 1999, profitant d’une belle opportunité, les Carmes vendent le couvent de la rue Montplaisir aux Pères Jésuites et celui de la rue d’Aquitaine aux Pères Capucins. Ils rachètent aux Capucins le couvent du 33, avenue Jean Rieux fondé par le Père Marie-Antoine de Lavaur. C’est dans ce couvent que vivent actuellement les Carmes déchaux.