Le mot d’accueil
Pendant 16 ans, sans se lasser, l’archevêque de Lyon nous a sollicités pour venir fonder un couvent de carmes dans son diocèse « manquant cruellement de communauté contemplative masculine » (sic). Finalement, l’archevêque a obtenu gain de cause et quand les conditions ont été réunies, trois frères sont arrivés en septembre 2017, rue de la Vieille.
Après avoir passé là un an en appartement, la communauté s’est installée dans l’ancien couvent des Sœurs de l’Adoration Réparatrice, devenu en 2005 celui des Sœurs de l’Assomption. Il est connu par les chrétiens lyonnais sous le nom de centre En Guédi. Ce couvent est situé à la jonction du boulevard Yves Farge et de la place des docteurs Mérieux, à un endroit stratégique : il se trouve à Gerland (7ème), un quartier en pleine expansion ; il est pris entre des habitations HLM d’un côté et des Grandes Écoles de l’autre (ENS, ISARA, ESSCA et bientôt l’EM).
Nous y sommes depuis le 12 juillet 2018, désormais au nombre de 6.
Il est temps d’acheter le couvent, afin de nous enraciner à Lyon et d’y rendre efficace notre action.
Il y a 4 carmels féminins dans la région qui ont besoin de notre aide.
Il y a les différentes communautés du Carmel séculier dans autour de Lyon (2 à Lyon même, Surrieu, Chambéry, Bourg en Bresse, Clermond-Ferrand).
Il y a au plan spirituel une présence très marquée de la spiritualité ignatienne, mais une quasi-absence d’autres spiritualités traditionnelles pouvant servir d’alternative complémentaire – on le voit chez les séminaristes et les jeunes que nous accompagnons –. Saint jean de la Croix, Sainte Thérèse d’Avila, nos réformateurs, sont pourtant compatriotes et contemporains de saint Ignace de Loyola.
Notre présence à Lyon est comme un retour aux sources!
Les Grands Carmes, dont nous sommes issus, furent à Lyon dès 1291, peu après leur retour de Terre Sainte.
Les Carmes furent réformés par Thérèse d’Avila au XVIème siècle et deviennent les carmes déchaux. Dès 1619, ceux-ci prennent possession d’un couvent situé sur Fourvière, au bout de l’actuelle Montée des Carmes Déchaussés (annexe des Maristes depuis peu). Ils en furent chassés par la Révolution, qui tua trois d’entre eux. En 1859, le Père Herman Cohen restaura la présence carmélitaine masculine à Lyon, qui dura jusqu’aux expulsions de 1901. À partir de 1946, un groupe de jeunes frères séjourna dans la Capitale des Gaules jusqu’à la fermeture de la maison d’études en 1962.
Quel est notre projet à Gerland ?
Il tient en 3 points :
1) Une vie de prière pour tous : l’oraison, la messe et les offices sont assurés à l’intention de tous et ouverts à tous ceux qui le désirent.
2) Un témoignage chrétien dans un quartier qui ne l’est pas et reste perturbé par le trafic de drogue. Un peu à la manière d’un Charles de Foucauld.
3) La formation et l’accompagnement spirituel d’étudiants, de jeunes pros et de familles.
Programme des rencontres
Vie de la Communauté
Nouvelle Lyon
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Horaires de la liturgie
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